Date de publication : 30.12.2025
Introduction
Antoine Semenyo s’apprête à franchir un cap majeur en Premier League.
L’ailier de Bournemouth est annoncé tout proche de Manchester City, avec un contrat long et une rémunération digne d’un cadre.
Pour City, c’est une recrue d’impact immédiat ; pour Bournemouth, c’est une vente record et structurante.
Où en est le transfert de Semenyo ?
Les discussions avancent vers une finalisation rapide. Le cadre du transfert est posé : City accepte le prix global,
tandis que la forme du paiement reste le dernier point sensible. Sauf rebondissement, l’accord pourrait être bouclé dans les prochains jours.
Dans l’attente, l’information circule vite sur les plateformes d’actualités sportives.
Par ailleurs, beaucoup suivront cet événement sur les sites de bookmakers,
tant l’opération peut influencer les cotes et les projections sur la seconde moitié de saison.
🚨 Antoine Semenyo and Manchester City, deal almost done with final steps to follow soon.
Man City and Bournemouth has positive call today to proceed in talks while the player’s prepared to join #MCFC.
Here we go, soon. 🔜 pic.twitter.com/2MGqbunJLS
— Fabrizio Romano (@FabrizioRomano) December 30, 2025
Montant et clause : près de 65 M£
Le transfert s’articule autour d’une clause libératoire évaluée à un montant légèrement inférieur à 65 millions de livres,
en tenant compte d’éléments annexes (bonus, coûts liés à l’opération). Pour Bournemouth, ce niveau de prix place le joueur dans une catégorie premium,
rare pour un club de ce profil.
Pour City, ce montant confirme une stratégie : payer cher, mais pour des profils déjà prêts à performer en Premier League.

Paiement étalé : la clé des négociations
Manchester City souhaite étaler la dépense sur trois ans. Cette structure est classique à ce niveau :
elle permet d’absorber le coût et de rester dans un cadre financier maîtrisé. Pour Bournemouth, en revanche, l’enjeu est le calendrier d’encaissement,
donc la capacité à réinvestir vite.
Ainsi, l’accord final dépend moins du total que de la répartition. C’est souvent là que se joue un transfert « presque fait ».
Contrat et salaire : un nouveau statut
Semenyo se dirigerait vers un contrat de cinq ans. Son salaire de base serait proche de 150 000 livres par semaine,
avec des bonus liés aux performances individuelles et aux titres. C’est un changement de dimension : il passe d’un statut de joueur-clé d’un outsider
à celui de membre d’une rotation de luxe chez le champion.
De plus, cette durée protège le club et le joueur : City sécurise sa valeur, Semenyo sécurise sa trajectoire.
Pourquoi City investit autant sur un ailier
Cette saison, Semenyo affiche 9 buts et 3 passes décisives en 17 matches de
Premier League. Ces chiffres expliquent l’emballement.
Mais le profil compte autant : puissance, appels, agressivité au pressing, capacité à attaquer l’espace.
Par ailleurs, City cherche souvent des joueurs capables d’occuper plusieurs zones. Un ailier qui peut entrer intérieur, ou attaquer le couloir,
offre des solutions à Guardiola.

Qui pourrait partir : concurrence et arbitrages
L’arrivée de Semenyo densifie l’attaque. Selon les éléments disponibles, City pourrait ouvrir la porte à un départ entre Oscar Bobb et Savinho,
selon l’équilibre voulu et les offres. Dans ce type d’effectif, l’espace se gagne. Et, quand un nouveau joueur arrive, quelqu’un perd des minutes.
Donc, ce transfert n’est pas isolé : il implique une gestion de vestiaire, de temps de jeu et de valeur marchande.
Ce que Bournemouth peut reconstruire après la vente
Pour Bournemouth, une telle vente est une opportunité : elle peut financer un défenseur, un milieu et un attaquant, ou renforcer la profondeur.
Toutefois, remplacer l’impact direct d’un ailier décisif est difficile.
En conséquence, le club devra arbitrer entre recrutement immédiat et investissement de long terme, tout en gardant une identité de jeu cohérente.








