Date de publication : 25.12.2025
Introduction
Dans les cinq grands championnats, les matches se décident souvent sur un détail. Cette saison, un détail revient trop souvent : l’erreur “cadeau” qui finit au fond des filets.
La Juventus s’invite dans le haut d’un classement dont aucun grand club ne veut, avec 7 erreurs directement sanctionnées par un but.
Le signal est clair : la marge d’erreur est devenue minuscule, et Turin la paie comptant.
Le classement des erreurs menant à un but
Un club se détache avec 10 erreurs sanctionnées par un but : Paris. Derrière, plusieurs équipes atteignent 8 : l’Eintracht, Fribourg et Wolverhampton.
Ensuite vient un groupe à 7, où l’on retrouve Brest, Torino et la Juventus. Enfin, des équipes comme Cremonese, Séville et Tottenham sont à 6.
Ce panorama montre une tendance : même des effectifs solides craquent sous pression.

Où se situe la Juventus en 2025/26
Avec 7 erreurs menant à un but en championnat, la Juventus est parmi les pires bilans des top clubs européens. Ce n’est pas anecdotique. C’est une fuite de points.
Beaucoup ont suivi cet épisode sur les sites des bookmakers.
La statistique a aussi circulé sur les plateformes d’actualités sportives, preuve qu’elle touche un sujet central : la fiabilité.
⚪️⚫️ Cette saison, la Juventus a joué 19 matchs, pour un total de 𝟭𝟳𝟭𝟬 𝗺𝗶𝗻𝘂𝘁𝗲𝘀 (sans compter le temps additionnel) ⏱️
𝗣𝗶𝗲𝗿𝗿𝗲 𝗞𝗮𝗹𝘂𝗹𝘂 a disputé 𝟭𝟬𝟬% 𝗗𝗘 𝗖𝗘𝗦 𝗠𝗜𝗡𝗨𝗧𝗘𝗦 ! 🥵🇫🇷 pic.twitter.com/3pcgJHKj38
— Actualité — Serie A (@ActualiteSerieA) December 4, 2025
Pourquoi ces erreurs coûtent plus que d’autres
Une “erreur fatale” ne ressemble pas à un simple duel perdu. D’abord, elle offre souvent un but à faible effort pour l’adversaire.
Ensuite, elle casse le plan de match et oblige à courir après le score. Enfin, elle installe un doute collectif : chaque relance devient un moment à risque.
Ainsi, la Juventus peut dominer un match, puis le perdre sur une passe mal assurée ou une décision trop lente.
Les causes possibles : relance, pression, concentration
Il n’y a pas une seule explication. D’un côté, la volonté de ressortir proprement sous pression augmente le risque, surtout contre des équipes qui pressent fort.
De l’autre, un manque de coordination peut apparaître sur les premières passes, entre gardien, centraux et milieu bas.
Enfin, la concentration varie selon les phases : fin de mi-temps, retour de vestiaire, ou après une occasion ratée.
“Selon les données disponibles”, la Juventus souffre surtout quand elle doit choisir vite.

Ce que le staff doit corriger à court terme
La priorité est pratique. Premièrement, clarifier les circuits de sortie : qui décroche, qui se place, qui sécurise.
Deuxièmement, accepter parfois une relance plus directe, quand le pressing est total.
Troisièmement, travailler la gestion émotionnelle après une erreur, pour éviter la seconde vague.
Enfin, protéger certains profils en difficulté par une structure plus simple, au moins sur quelques matches.
Les risques pour la Serie A et l’Europe
La Juventus vise le haut de tableau et les places européennes. Or, à ce niveau, 7 buts “offerts” peuvent suffire à faire basculer une saison.
De plus, en matches serrés, ces erreurs font la différence contre des concurrents directs. En Europe, elles sont souvent punies encore plus vite.
Donc, le sujet n’est pas esthétique : il est comptable.
Comment mesurer l’amélioration sur la phase retour
La correction se voit sur trois indicateurs : baisse du nombre d’erreurs menant à un tir, puis à un but, et amélioration du taux de sorties de balle réussies sous pression.
Si la Juventus stabilise ces points, elle remontera mécaniquement en efficacité. Sinon, le plafond restera bas, même avec une bonne attaque.
FAQ
ou décision défensive qui ouvre un face-à-face. Cette donnée ne résume pas toute la qualité défensive, mais elle mesure un coût immédiat :
un but concédé sur une faute évitable.
des équipes de l’élite européenne. Corriger ce poste peut donc avoir un impact rapide sur le classement.
Derrière, un groupe d’équipes suit avec 8. Cela montre que le problème n’est pas limité à un seul championnat.
Le point commun, c’est la vulnérabilité lors des premières passes et dans les zones axiales.
“Selon les données disponibles”, c’est souvent sous pression directe que les erreurs deviennent fatales.
pour éviter la panique collective. Enfin, la répétition à l’entraînement (angles de passe, communication, automatismes) reste déterminante.








