Arsenal : une série folle de buts contre son camp

28 déc 23:18
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Date de publication : 28.12.2025

Introduction

Arsenal traverse une séquence statistique aussi rare que déroutante.
Sur ses six derniers buts en Premier League, quatre ont été comptabilisés comme des buts contre leur camp par les adversaires.
Le dernier épisode, face à Brighton (2-1), a encore alimenté le débat : simple réussite, ou conséquence directe du style imposé par Mikel Arteta ?

Une anomalie qui attire l’attention en Premier League

La fréquence actuelle surprend. Arsenal obtenait rarement ce type de “coup de pouce” auparavant. Or, en quelques rencontres, le compteur s’est emballé.
Forcément, le phénomène se voit. Il se commente vite. Beaucoup ont suivi cet événement sur des
sites de bookmakers. Et le sujet s’est propagé, car il mélange hasard et tendance.

Emirates Stadium, Arsenal gagne grâce autogol

Brighton à l’Emirates : le but contre son camp décisif

Lors de la 18e journée, Arsenal recevait Brighton et s’est imposé 2-1. L’action qui a fait basculer le score est venue d’une situation de danger dans la surface.
En cherchant à couper une trajectoire, l’attaquant de Brighton Georginio Rutter a dévié le ballon dans ses propres filets.
Ce geste malheureux a offert aux Londoniens un avantage déterminant.

Ce type d’action ne se produit pas sans contexte. Il faut une zone saturée. Il faut aussi une hésitation. Ensuite, une fraction de seconde suffit.

Pourquoi les défenseurs finissent par craquer

Arsenal provoque beaucoup d’interventions d’urgence. D’abord, l’équipe met de la vitesse sur les côtés. Ensuite, elle cherche le couloir entre gardien et défense.
Enfin, elle multiplie les ballons tendus dans la zone des six mètres. Dans ces conditions, le défenseur n’a pas le temps : il doit choisir vite.
Et il se trompe parfois.

Les buts contre son camp naissent souvent de trois ingrédients : pression, densité et trajectoires difficiles. Arsenal coche ces cases sur certaines séquences.

Chance ou pression : comment lire cette série

Il y a une part d’aléatoire. Une déviation n’est jamais planifiée. Pourtant, la répétition peut aussi signaler une domination territoriale.
Quand le ballon reste longtemps dans la surface adverse, les erreurs deviennent plus probables. C’est là que le débat s’installe, sur des
plateformes d’actualités sportives : Arsenal bénéficie-t-il d’un “alignement” de faits,
ou impose-t-il une mécanique qui fait craquer les blocs ?

La vérité se situe souvent entre les deux. La série est atypique. Cependant, elle n’est pas totalement déconnectée du contenu.

Ce que cela dit du jeu d’Arteta

Le projet d’Arteta repose sur le contrôle et l’agression dans les 30 derniers mètres. Arsenal cherche à enfermer l’adversaire.
Il insiste sur les secondes balles. Il récupère haut quand il le peut. Ce cadre augmente la quantité d’actions dangereuses,
même si la finition n’est pas toujours parfaite.

Arteta et Arsenal mettent pression constante

Les limites d’un “cadeau” répété

Une telle série ne dure généralement pas. Arsenal ne peut pas bâtir sa saison sur des erreurs adverses.
Le vrai juge reste l’efficacité des attaquants et la qualité des occasions créées. Si les autogols disparaissent, il faudra continuer à gagner.
C’est l’enjeu des prochaines semaines.


FAQ

1. Pourquoi Arsenal marque-t-il autant de buts contre son camp récemment ?
Parce qu’Arsenal envoie beaucoup de ballons dangereux dans la surface : centres tendus, passes à ras de terre et situations de chaos près du gardien.
Dans ces moments, les défenseurs (ou les attaquants qui reviennent défendre) doivent intervenir vite. Un pied mal orienté, une lecture ratée,
et le ballon peut finir au fond. Il y a aussi une part de hasard, car la direction d’une déviation se joue parfois à quelques centimètres.

2. Combien de buts récents d’Arsenal sont des autogols adverses ?
Sur les six derniers buts inscrits lors de cette séquence, quatre ont été comptés comme des buts contre leur camp. C’est une proportion très inhabituelle à ce niveau.
Elle alimente les discussions, car elle change la manière d’évaluer l’efficacité offensive. Néanmoins, ces buts comptent au tableau d’affichage
et pèsent dans la course au classement.

3. Quel est l’autogol le plus marquant de la série ?
Le match contre Brighton (2-1), à l’Emirates, est l’épisode le plus commenté. À un moment clé, Georginio Rutter a dévié le ballon dans ses propres buts
en voulant couper une action dangereuse. Ce but a donné un avantage décisif aux Gunners et illustre la pression imposée dans la zone de vérité.

4. Est-ce uniquement de la chance pour Arsenal ?
Pas uniquement. Une déviation reste imprévisible, donc la chance existe. Mais Arsenal provoque souvent ces situations en répétant les attaques dans la surface.
Quand l’adversaire défend en urgence, il concède plus de rebonds, plus de corners, et plus de gestes “réflexes”. Sur une courte période, cela peut créer une série.
À long terme, la tendance doit être confirmée par des buts “propres”.

5. Que dit cette série sur le style de Mikel Arteta ?
Elle met en avant un principe : Arsenal cherche à transformer la pression en danger constant. Le jeu passe par les ailes, par des renversements,
puis par des ballons rapides dans la zone des six mètres. Ce choix tactique force les adversaires à défendre face à leur but,
ce qui augmente le risque d’erreur. Cela ne remplace pas la finition, mais cela montre une capacité à étouffer l’adversaire.

6. La série peut-elle continuer sur plusieurs mois ?
C’est possible, mais peu probable au même rythme. Les autogols dépendent de variables difficiles à reproduire : trajectoires, placements, rebonds.
Arsenal peut continuer à provoquer des situations dangereuses, mais il devra surtout compter sur ses propres buteurs.
Si la finition s’améliore, la dépendance aux “cadeaux” diminuera — un scénario généralement plus durable.

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